Saturday, April 21, 2007

Relations au sexe opposé et autres transformations

Quelles sont les conséquences sur la capacité d'être en couple du fait de vivre ou passer beaucoup de temps avec un groupe d' "amis" en partie du sexe opposé? Fait qui finit par vous transformer?°

Par l’interaction entre les membres d’un groupe, l’échange de points de vu plus libres ainsi que d’autres faits et habitudes « tendent » (dans le sens de dériver), le genre féminin vers le masculin et vice versa.
Par exemple, le vocabulaire d’une femme se transforme de manière pas toujours très féminine, la nourriture de base change dans les deux cas, la quantité de fête, certains hommes portent des t-shirts pseudo efféminé, d’autres passent 1'000 ans dans la salle de bain, ou encore sont devenues de vraies « pipelettes »…
Ces changements, qui au début ne se produisaient qu’au sein du groupe précisément, finissent par se répandre dans la vie courante, et font, que cet « état » devient permanent et par ainsi d’unefamiliarité trépidante…

Le problème est le suivant ; cette manière d’être ou de se comporter paraît bizarre à tout personne du sexe opposé extérieure au groupe. Les femmes ne semblent, plus tout à fait de « vraies » femmes et les hommes plus tout à fait des « vrais » hommes ; les femmes sont « trop » chill et à l’aise pour des choses qui pourraient donner l’impression de ne pas devoir faire partie de la palette de qualités/défauts d’une femme et les hommes connaissent trop de choses sur les femmes et peuvent ainsi paraître trop « compréhensifs » or whatever et sembler décalés. Ou ont des relations entre eux qui ne contiennent pas de sous-entendus théoriques (comme dormir sur un canapé à 7), mais encore, ne s’étonnent plus et finissent par trouver normal les actions et vérités des mitglieders (« de toute façon, c’est x, quoi. Normal, la routine… »), alors que pour toute personne étrangère ces actes passeraient pour anormaux.

Alors si dans un premier cas, même s’il existe, certes des exceptions (qui confirme la règle*), à l’intérieur du groupe, il n’y a pas de couples « officiels** ».
Et si dans l’autre cas, les relations vis-à-vis du sexe opposé hors du groupe sont boggées et ne permettent pas la possibilité d’être, ni d’envisager une beziehung quelconque. Il faudrait pour se faire que :
a) le reste groupe paraisse « normal » au partenaire, mais celui-ci, ne sera jamais comme un des membre du groupe et ne pourra donc jamais totalement comprendre (comme Richard dans Friends),
b) d’un autre côté, même si c’est marrant qu’une femme se comporte*** « comme un homme » peut être amusant de temps à autre, mais un partenaire ne pourra pas supporter longtemps de sortir avec quelqu’un du sexe opposé qui semble appartenir au même. Ces femmes et hommes du groupe ne font ainsi plus totalement partie intégrante du genre auquel ils devraient appartenir, mais ne sont pas l’autre non plus…**** Et c’est dans ce cercle de personnes du groupe que l’on finit par se sentir le mieux ; la scission entre le système et le groupe est malgré tout non négligeable.

En conclusion, les membres du groupe passant beaucoup de temps ensembles et se « ferment »***** inconsciemment aux possibilités d’être en couple, car à part quelques exceptions au sein du groupe, l’extérieur devient étranger, incompatible et « non comprenant ».
On est seul (bzw. célibataire) mais on n’est pas le seul.

°°Mes idées reformulées par le vénérable P, thanks
*Pour autant qu’elle soit valable ;-D
**officieux : « mais je le répète cela ne nous regarde pas » ;-D
***dans de certaines limites bien sûr
**** Céline, serions-nous devenues des mecos ?
*****Le terme est un peu fort, mais je n'ai pas le vocabulaire ni de hugo ni de p

2 Comments:

Blogger Genferin und St Gallerin said...

la solution est celle ci: trouver le sexe opposé dans un autre groupe, mais qui doit être basé sur une partie de valeur commune: M'n'A de groupe d'amis...(car les 2 groupes s'entendent et fusionnent...)
WTF

4/21/2007 7:38 PM  
Blogger P-Man said...

Mensch Mensch Mensch...

Enfin une théorie valable, mais noyée dans des fautes de grammaire, d'orthographe, mais pire que tout de syntaxe...

Même lu à haute voix pour pardonner ton style conversationnel, il est incohérent:

- La première phase, séminale pourtant, n'a ni queue ni tête!

Lösung simple sans la redondance de Quelles sont les conséquences et de en tenant compte du fait

"Quelles sont les conséquences sur la capacité d'être en couple du fait de vivre ou passer beaucoup de temps avec un groupe d’ « amis » en partie du sexe opposé? Fait qui finit par vous transformer ?"

Puis dans le paragraphe suivant, l'argumentation tient pas trop mal, on voit environ ou tu veux en venir et on se souhaiterai que tu en viennes à un spellcheck...

Pas le temps d'en écrire plus... Mais stp, fais un tout petit effort, surtout depuis que tu as de nouveau un peu de temps!

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Pour le contenu: C'est le déséquilibre qui vous masculinise... Les HSG-lers mâles ne sont pas féminisés. Simplement un tout petit peu moins sauvages que s'il étaient en internat masculin... Le problème au niveau mâle reste le déséquilibre lui aussi, et le fait qu'il faut bien avouer que c'est plus sympa d'être en groupe de mecs qu'autre chose (but that is another topic altogether)...

Et pour ce qui est de la solution: rester conscient de cet effet et le contrer consciemment!

Gruss, P

4/25/2007 11:18 AM  

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