Entre deux
Il était temps que j'écrive cet article séparant deux périodes.
Je m'explique pour que ne puisse être dit que je suis tout le temps incompréhensible: Pour moi le temps qui passe est fait de périodes séparées par des grenze plus ou moins visibles; tel un écrivain qui changerait de chapitre en changeant de lieu ou d'indication temporelle.
Voici où nous en sommes!
Après la période "fin du premier semestre" qui se finissait en vérité fin mai (en plein 2e semestre) de manière assez approximative (Gad si tu lis: floue!), il y eut celle de "3 mois de travail intense au CS". ;-D Celle ci fut bien plus réglementée que la précédente: un réveil, un train, une destination... le cadre de la journée (tant spatial que temporel) fut le même permettant certes quelques variations comme des parties de billard, du sport, des sorties à l'Elefant ou autre repas avec ma Basse cour. Un peu de routine, mais avant tout de la rigueur qui ne pouvait en aucun cas me faire du mal. Cette période fut excellente, bien que ponctuée de hauts et de bas, tant moraux qu'événementiels.
Il était temps que je change de cadre; alors après un rangement des plus conséquents concernant tout ce que je devais ramener à Genève et une soirée pour fêter la fin des exas (et la fin du travail en général), je rentrai en délicieuse compagnie avec une halte dans une "cantine" des plus raffinées. La nouvelle période commença ainsi le samedi 3 septembre lorsqu'à mon habitude je me rendis à la synagogue. La genferin que je suis, retrouvait plus ou moins rapidement ses marques. Un Java ne pouvant qu'accélérer le processus (oh non pas ce mot! ;-D). Mais comme il est difficile de couper tout lien avec le passé, un petit retour à Zürich pour participer à l'event du team du CS au golf fut de rigueur. Une journée à Genève avec des tâches noires à la clinique des Grangettes avant un petit weekend prolongé sur la Croisette. Très bon séjour, des purée-de-pois-cassés (pour ne pas dire p*****) de vacances chill en famille. Oublier qu'il y a des choses à faire ensuite, oublier que l'hiver arrive, oublier les gens qu'il faut, oublier tant de choses et juste se rappeler de l'essentiel. Ok Ok, de la plage et du shopping. Des bons (et moins bons) restaurants, sur des terrasses intéressantes (Gourdon!!) avec des serveurs juste suffisamment sympathiques. De la bonne glace hagendaas. Un beau temps pour bronzer tel qu’il est possible avec de l’huile d’avocat. #;-D
Retour à Genève depuis dimanche soir, éclairs qui passent à côté de l’avion. UN vent qui souffle dans les cheveux à la sortie et enfin la pluie qui tombe lors du retour à Veyrier. Hé les meufs hé les keufs dans le rer la banlieue c’est pas rose, la banlieue c’est morose. Le jet d’eau magnifique avec la lumière derrière : Genève c’est beau quand même. Un petit tel et dodo. La période peut ainsi continuer pendant quelques temps.
Comme le dit si bien Lafesse : pourvu que ça dure !
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