Alcool
L’autre jour, petit verre au stamm lernphasien : le colony. Habituellement nous aurions probablement pris un verre d’alcool vu qu’il s’agissait du début de soirée, mais non ce fut capuccino.
Encore hier soir, discussion avec un nouveau converti à la sambuca qui est allé prêcher la bonne parole dans la ville lumière, quand je lui dis : « bois pour nous, on jeûne d’alcool. » Il me répond : « pour mieux recommencer après ! » Il n’a je suppose pas tord (les 15-17-24 en tous les cas !).
Je faisais un bilan avec Céline des dernières soirées, et la conclusion était que nous ne buvions plus pour le goût de l’alcool (comme dans mon souvenirs les parents qui dégustaient leur vin, mais finissaient avec contenance avec plus de 0,8‰), ni que nous buvions seulement un verre pour être « social » ; non ! La quantité est tout simplement incroyable et au lieu d’être un peu éméchées, nous finissons bien dans le « move » (souvent me suis-je d’ailleurs retrouvée à l’horizontale ;-D).
Après, nous nous sommes demandées s’il s’agissait que de nous, mais non ! Encore l’UNICEF en parlait récemment, il y a de plus en plus de jeunes (15 ans !!) qui sont ivres plusieurs fois par mois, dans « Sex and the city » elles commandent toujours des mia de cosmopolitan ou encore dans le Glamour du mois de mars : « alcoolo-test » qui teste notre rapport à l’alcool : soit notre cocktail est l’ anxietini (lutter contre la timidité), soit le sociopolitan (faire la fête mais ne pas savoir s’arrêter), ou encore l’emojito (encaisser des émotions négatives).
Je ne pense pas que ce soit les trois seules raisons. Pourrait-on admettre comme possibilités que certains ont beaucoup de travail et qu’il leur faut, d’après la geschwindigkeitwettbewerb, faire descendre la pression, ou peut-on considérer que c’est juste « funny » de ne pas se rappeler de tout, ou encore n’est ce qu’une habitude ?
C’est comme cette habitude qu’avait une copine qui disait : « Oui, j’étais qu Java, bien sûr…. Je voulais aller me coucher mais bon c’était samedi soir ! » Peut-on dire pareil ? Sans Trinkenbegründung ?
C’est dans des moments comme cette purée- de- pois- cassé de Lernphase, où, mêmes des APTA en force, jeûnent totalement de ce qui est leur binde Punkt, et qu’on entend dire par leurs mitgliedern : « j’ai tellement envie de boire et de faire la fête. »
L’alcool est-il une voraussetzung pour faire la fête ? (Entrer au trischli sans être lancé est paraît-il un acte glauque !)
Ne saurions-nous (allgemein) tout simplement pas faire dans le mesure, car faisant tout dans la démesure, tels des boulimiques de la vie ?
Encore hier soir, discussion avec un nouveau converti à la sambuca qui est allé prêcher la bonne parole dans la ville lumière, quand je lui dis : « bois pour nous, on jeûne d’alcool. » Il me répond : « pour mieux recommencer après ! » Il n’a je suppose pas tord (les 15-17-24 en tous les cas !).
Je faisais un bilan avec Céline des dernières soirées, et la conclusion était que nous ne buvions plus pour le goût de l’alcool (comme dans mon souvenirs les parents qui dégustaient leur vin, mais finissaient avec contenance avec plus de 0,8‰), ni que nous buvions seulement un verre pour être « social » ; non ! La quantité est tout simplement incroyable et au lieu d’être un peu éméchées, nous finissons bien dans le « move » (souvent me suis-je d’ailleurs retrouvée à l’horizontale ;-D).
Après, nous nous sommes demandées s’il s’agissait que de nous, mais non ! Encore l’UNICEF en parlait récemment, il y a de plus en plus de jeunes (15 ans !!) qui sont ivres plusieurs fois par mois, dans « Sex and the city » elles commandent toujours des mia de cosmopolitan ou encore dans le Glamour du mois de mars : « alcoolo-test » qui teste notre rapport à l’alcool : soit notre cocktail est l’ anxietini (lutter contre la timidité), soit le sociopolitan (faire la fête mais ne pas savoir s’arrêter), ou encore l’emojito (encaisser des émotions négatives).
Je ne pense pas que ce soit les trois seules raisons. Pourrait-on admettre comme possibilités que certains ont beaucoup de travail et qu’il leur faut, d’après la geschwindigkeitwettbewerb, faire descendre la pression, ou peut-on considérer que c’est juste « funny » de ne pas se rappeler de tout, ou encore n’est ce qu’une habitude ?
C’est comme cette habitude qu’avait une copine qui disait : « Oui, j’étais qu Java, bien sûr…. Je voulais aller me coucher mais bon c’était samedi soir ! » Peut-on dire pareil ? Sans Trinkenbegründung ?
C’est dans des moments comme cette purée- de- pois- cassé de Lernphase, où, mêmes des APTA en force, jeûnent totalement de ce qui est leur binde Punkt, et qu’on entend dire par leurs mitgliedern : « j’ai tellement envie de boire et de faire la fête. »
L’alcool est-il une voraussetzung pour faire la fête ? (Entrer au trischli sans être lancé est paraît-il un acte glauque !)
Ne saurions-nous (allgemein) tout simplement pas faire dans le mesure, car faisant tout dans la démesure, tels des boulimiques de la vie ?
2 Comments:
J'AI TROP ENVIE/BESOIN/WHATEVER DE FAIRE LA NOCE ET DE BOIRE ;-) Parler d'alcool et de noce devrait être interdit pdt la Lernphase... enfin quoique... vu que la seule chose qui nous fait tenir, c'est de penser à toutes les noces "post-Lernphase"... hum... dilemne...
Bon donc, la philosophie, c'est bien joli, mais moi je dis, l'alcool y'en a JAMAIS trop (ou encore, adaptation de phrase-culte: l'alcool c'est pas bien, surtout quand y'en a plus)... donc en ce moment, c'est "pas bien", mais alors pas bien du tout!!!
Big up à toutes les APTA et autres alcooliques aussi. Et même, je pourrais adapter le slogan "live fast & die young"... en prenant le "die" non pas au sens premier, mais comme dirait Gad "y'en a qui sont morts pour la France, moi je suis mort au champagne"... alors décédons vite et bien!
Gad président??
Je sais pas si c'est une bonne idée de mettre un article pareil sachant par exemple que des personnes (telles que moi n'apprécieraient) pas de savoir que sa chère soeur, son amie, sa fille, dont on aurait parfois envie de suivre l'exemple, ait besoin d'acool pour aller mieux et qu'elle entre donc dans une catégorie de personnes (que ladite soeur, pour poursuivre dans cet exemple) n'aime pas côtoyer et trouve justement ce genre de comportement parfaitement ridicule et primitif.
Sorry mais ca me fait de la peine, surtout que l'envie de boire et le besoin de boire, pour moi c'est la même chose, enfin bref...
Mais bon, qui suis-je pour te faire la leçon...
Post a Comment
<< Home